Les débats, très riches, ont permis de faire émerger de nombreuses idées :

Concernant les mobilités plus propres :

• des demandes pour accélérer le développement du vélo, notamment électrique : voies dédiées, voies express, vélos partagées, parcs de stationnement... ;
• la réalisation de schémas de vélo supra-communal pour une meilleur cohérence des circulations ;
• une meilleure prise en compte des enjeux de franchissement de la Seine ;
• le développement de nouveaux services/outils pour les mobilités actives (consignes, indemnités kilométriques par les entreprises, vélos en partage...) ;
• le développement du covoiturage par le biais d'outils numériques mais aussi par l'implication plus fortes des entreprises (développement des taxis partagés et du covoiturage de proximité dans le cadre de pratiques solidaires).

Concernant les mobilité plus connectées :

• l'idée d'open data des données des transporteurs a été reprise avec le développement d'outils d'information en temps réel des meilleures options de mobilités possibles ;
• l'amélioration des réseaux de communication le long des routes afin que les outils soient utilisables au bon moment ;
• l'utilisation des outils pour suivre le trafic routier et mieux orienter les véhicules afin d'éviter les congestions ;
• l'accompagnement du développement des véhicules autonomes.

Les problématiques du handicap et du vieillissement de la population ont également été abordées. De même que les enjeux de sécurité routière.

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