Une plus grande solidarité pour répondre aux besoins des usagers

Les participants ont relevé dès le début des échanges, la faiblesse des liaisons nord-sud au sein du département et, plus globalement, le manque de transports en commun pour les déplacements infra départementaux. De plus, l’absence de desserte fine des zones rurales liées à l’étendue du département contribue, selon les habitants, à la formation de déséquilibres internes au département.

Afin de lutter contre ce phénomène, les participants ont ainsi proposé de développer les aires de co-voiturages, notamment en utilisant les parkings des grandes surfaces ou des zones d’activités, afin de favoriser la mobilité des usagers sur l’ensemble du territoire départemental, mais aussi de développer le télétravail dans les maisons de services publics, notamment dans les zones rurales.

Enfin, il a été proposé de favoriser l’accessibilité des transports, notamment les lignes de bus.

 La nécessaire émergence de l’intermodalité

Le manque d’interconnexion entre les réseaux existants a été souligné ainsi que l’absence de plan directeur clair pour les schémas de pistes cyclables. Pour répondre à ces problèmes, les participants ont proposé de favoriser l’accès aux pôles gare pour les vélos avec dispositif de Véligo ou encore de réutiliser les voies fluviales.

En outre, dans l’optique de rendre cette intermodalité pérenne et intelligible pour les usagers, il a été proposé de mettre en place des formations sur la mobilité et l’intermodalité pour apprendre aux gens à se déplacer.