En effet, une mobilisation de l’ensemble des régions est indispensable, et notamment celle de l’Île-de-France. Avec ses 12,2 millions d’habitants, ses 5,7 millions de logements et ses 15 millions de déplacements quotidiens en voiture ou 2-roues motorisés, l’Île-de-France est responsable de 10 % des émissions de gaz à effet de serre nationales.

En 2020, 75 % des 140 actions prévues par la première feuille de route pour la transition énergétique francilienne ont été mises en œuvre, malgré le contexte sanitaire.

Pour poursuivre le travail engagé, les services de l’État et l’ADEMEAgence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie ont actualisé cette feuille de route en 2021. Une nouvelle série d’actions à conduire est définie, autour des trois grandes priorités franciliennes que sont la rénovation des bâtiments, le développement des énergies renouvelables et de récupération et le passage à une mobilité sobre et à faibles émissions.

Des actions contribuant à la neutralité carbone hors énergie sont également prévues. L’enjeu de la qualité de l’air est également abordé dans la feuille de route, où sont identifiées les actions qui contribueront à son amélioration.

Comme en 2020, mobilisons-nous autour de cette feuille de route opérationnelle et concrète, au bénéfice des territoires et de leurs habitants.

Pour en savoir plus sur les enjeux, priorités et actions majeures en 2021, consultez la feuille de route : http://www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr/transition-energetique-les-priorites-des-services-a4277.html