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Le déploiement du SNU continue en Île-de-France

Mise à jour : 14 janvier 2021

Christophe KERRERO, recteur de la région académique, recteur de Paris, Magali CHARBONNEAU, directrice de cabinet du préfet de la région d’Île-de-France, préfet de Paris et Jean-Benoît DUJOL, directeur de la jeunesse, de l’éducation populaire et de la vie associative, et délégué interministériel à la jeunesse, ont présidé le 13 janvier 2021 en Sorbonne, le deuxième comité de pilotage sur le déploiement du service national universel en Île-de-France

Nos départements franciliens prêts à accueillir des jeunes engagés dans le SNU

Cette année encore, et pour la deuxième année consécutive, tous les départements d’Île-de-France seront engagés dans le déploiement de ce dispositif civique.  Dans ce cadre et en tenant compte des exigences liées à la crise sanitaire, ce seront 25 000 jeunes qui s’inscriront dans ce parcours d’une société de l’engagement.

Après une première phase de préfiguration menée en 2019 dans treize départements pilotes dont le Val-d’Oise en Île-de-France, le dispositif s’est étendu en 2020 à l'ensemble des départements de métropole et d’outre-mer. En 2021, la région d’Ile-de-France poursuit l’objectif d’une mobilité infrarégionale. Chacun des huit départements d’Île-de-France s’apprêtera donc à recevoir entre 200 et 250 jeunes (de 15 à 17 ans) d’un département voisin francilien, pour effectuer leur séjour de cohésion.

Le comité de pilotage du 13 janvier a arrêté une première liste de 8 sites en Île-de-France qui accueilleront les jeunes franciliens pour leur séjour situé entre le 21 juin et le 2 juillet 2021.

Le déroulement du SNU

Pendant deux semaines, du 21 juin au 2 juillet 2021, des jeunes filles et garçons âgés de 15 à 17 ans participent à un séjour de cohésion qui constitue un moment de vie collective en dehors de leur département d’origine. Puis, pendant deux autres semaines (ou 84 heures tout au long de l’année), ils s’engageront auprès d’une association, d’une administration ou d’un corps en uniforme pour réaliser une mission d’intérêt général. Enfin, s’ils le souhaitent, ils pourront poursuivre l’aventure avec une période d’engagement volontaire de trois mois minimum.